J'ai vu récemment une émission qui parlait des origines de la "techno", genre musical longtemps marginalisé et considéré par les "majors" comme un mouvement éphémère sans avenir commercial. Plutôt raté comme pronostique. Les adeptes de la techno utilisent tous les moyens pour faire valoir leurs droits et cette profession de foi présente de telles similitudes avec le combat des homosexuels pour faire reconnaître les leurs qu'il n'est pas étonnant de trouver cette musique comme porte-drapeau des nombreuses "Love-Parades".
Il paraît que les instruments utilisés en techno sont très... techniques. Synthétiseurs, boîtes à rythmes, échantillonneurs, ... Le règne de l'électronique, quoi. Mais le choix du commentateur d'utiliser les termes anglais prononcés à la française était assez hilarant. À tel point que l'échantillonneur (sampler en anglais) devenait un amusant "sans pleurs". Mais il est vrai que, pour jouer de la musique gay, il vaut mieux jouer sans pleurs. (*)

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